Faut-il commencer par écrire des nouvelles

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adu
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Faut-il commencer par écrire des nouvelles

Messagepar adu » 23 Oct 2007, 16:17

EDIT LUXY : posts déplacés pour faire un nouveau sujet. La première phrase n'a rien à voir avec la choucroute, mais avec l'autre sujet.

Tant qu'on sait ce qu'on fait et pourquoi, que la chose est logique, ne serait-ce que dans l'esprit de l'auteur alors oui il peut faire ce qu'il veut.


Et pour les propos d'Oliv, il a sans doute raison et si vous voulez les infirmer vous n'avez qu'à envoyer des nouvelles à des AT, si elles sont reçues, il avait tort, dans le cas contraire...

lambertine
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Messagepar lambertine » 23 Oct 2007, 16:36

Ben voyons...

Si vos écrits correspondent aux AT, ils sont bons, sinon, non ?

C'est du n'importe quoi. Faudrait un peu sortir de l'état d'esprit "fanzine-anthologie" les gars.

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adu
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Messagepar adu » 23 Oct 2007, 16:42

lambertine a écrit :Ben voyons...

Si vos écrits correspondent aux AT, ils sont bons, sinon, non ?

C'est du n'importe quoi. Faudrait un peu sortir de l'état d'esprit "fanzine-anthologie" les gars.


Si j'ai parlé de fanzines, AT, nouvelles, c'est parce que c'est plus court à écrire qu'un roman. Si tu veux tu peux tenter l'expérience avec un roman chez n'importe quel éditeur.

Et je trouve que répondre aux ATs est un très bon exercice pour les débutants plutôt que d'écrire directement sa mauvaise trilogie en 15 volumes. diablo

lambertine
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Messagepar lambertine » 23 Oct 2007, 16:58

Je l'ai déjà dit ailleurs : écrire des nouvelles et écrire des romans, ce n'est pas la même chose. Ca nécéssite un état d'esprit différent. Synthétique pour les nouvelles, analytique pour les romans. Alors,envoyer un auteur sur les roses parce qu'il n'a pas l'esprit "novelliste", c'est du n'importe quoi.

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Messagepar Sand » 23 Oct 2007, 16:58

Et s'il suffisait qu'un écrit corresponde à un AT pour être bon, ça se saurait.

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Messagepar ereneril » 23 Oct 2007, 17:22

lambertine a écrit :Ben voyons...

Si vos écrits correspondent aux AT, ils sont bons, sinon, non ?

C'est du n'importe quoi. Faudrait un peu sortir de l'état d'esprit "fanzine-anthologie" les gars.


Sand a écrit :Et s'il suffisait qu'un écrit corresponde à un AT pour être bon, ça se saurait.



Adu ne dit pas ça.

Adu rebondit simplement sur le fait que la majorité de nos écrits sont mauvais.

Adu propose simplement de confronter nos écrits avec la réalité.
En l'occurence en les soumettant à des éditeurs. Que ce soit roman ou nouvelle, le principe est le même.

Justement, le fait de correspondre au thème d'un AT ne suffit pas. Loin de là. Tout comme, pour un roman, correspondre à la politique éditoriale ne suffit pas. Et heureusement... :lol:
Les dés ont fini de rouler...

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Napalm Dave
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Messagepar Napalm Dave » 23 Oct 2007, 17:49

Je dirais que commencer par des nouvelles n'est pas en soi indispensable mais peut être formateur pour l'écriture de choses plus longues et "ambitieuses".

Les nouvelles à AT vous contraignent à respecter un sujet et souvent une forme imposée (longueur, contraintes diverses)et vous aident à varier votre écriture. C'est un bon défi de traiter un sujet qui vous plaît avec votre style personnel.
Les nouvelles "libres" vous ferons mettre en place des histoires qui vous trottent dans la tête et peuvent donner de très bonne choses.

L'important est de ne pas rester dans votre coin et de vous enfermer dans votre écriture au point d'en négliger le lecteur. Pour progresser, il faut confronter ce que l'on écrit au regard des autres et cela se fait généralement bien mieux avec des nouvelles ou novellas qu'avec des romans. Bien sûr, vous pouvez montrer des extraits mais la nouvelle est courte, synthétique, se suffit à elle-même en terme de mise en place et de développement de l'intrigue.

Personnellement, je trouve beaucoup d'épanouissement à écrire un recueil de nouvelles car je passe rapidement d'une histoire à une autre tout en ayant un fil conducteur: quel plaisir d'ajouter chaque fois une "perle noire" au collier lorsqu'elle est achevée!
De plus, je peux plus facilement laisser mon recueil "en plan" et le reprendre plus tard.
Je me penche également sur le système de romans à plusieurs petites histoires qui se suivent façon "Conan", mettant en scène le même héros à des moments différents.

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Messagepar lambertine » 23 Oct 2007, 20:28

C'est assez méprisant pour le genre "nouvelle" que de considérer celles-ci comme moins "ambitieuses" qu'un roman. Bien sûr qu'une nouvelle sera plus vite écrite qu'une pentalogie. Et alors ? ce n'est pas, selon moi, le même travail. Une bonne nouvelle, c'est un bijou ciselé, syntéthique, un texte qui va droit au but, et qui oscille entre la poésie et le roman. Un roman se permet des digressions, des explications, des aller-et-retour, des descriptions longues. Un roman est un travail d'endurance, une nouvelle un travail de concision.
Et lire une nouvelle ou un roman, c'est différent aussi. Le lecteur le plonge, s'immerge "au long cours" dans un roman, il savoure une nouvelle, plus pour le style, dirais-je, que pour l'histoire elle-même. Je sais que je radote, mais on ne se prépare pas au marathon en courant le 100m. Même si certains génies arrivent à combiner les deux.

Chwip
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Messagepar Chwip » 23 Oct 2007, 20:34

Donc pour toi un roman peut être écrit avec les pieds.

As-tu pensé que nous n'attendions peut-être pas tous la même chose d'un texte, que ce soit un roman ou une nouvelle ?
Que le travail d'un projet court pouvait permettre de gagner en compétence pour un travail sur un projet long et d'apprendre à jouer avec les contraintes éditoriales, les critères, etc. ?

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Messagepar Clendorie » 23 Oct 2007, 21:03

Que ce soit un roman ou une nouvelle, tous deux doivent répondre à une certaine exigence au niveau du style et de l'écriture.

Il est vrai que la nouvelle peut permettre entre autres de repérer un certain nombre de problèmes au niveau de la stucture, darlings... Et comme une nouvelle est plus courte les fautes sautent bien plus facilement aux yeux.

Mais paradoxalement il est parfois plus difficile d'écrire une nouvelle qu'un roman pour la simple raison qu'on a moins de place pour s'étaler et qu'une "tournure maladroite" qui passerait dans un roman ne marcherait pas du tout dans une nouvelle. Et on a moins la possibilité de détailler la psychologie des personnages, on doit réussir à décrire son univers en quelques mots...

Pour le côté poésie qu'évoque lambertine un petit exemple:
Léa Silhol qui a un style très ciselé est à mon avis beaucoup plus efficace en nouvelle qu'en roman (lisez la Sève et le Givre vous comprendrez vite).

pour rester dans la métaphore stupide une nouvelle c'est un de ces portraits miniatures qui en quelques touches de peinture doit rendre à toute la vie, la richesse du modèle (et où le moindre défaut est visible au premier coup d'oeil et dénature l'ensemble).
Le roman (et la multi-décalogie) c'est le tableau de 30X15m, fourmillant de détails de toutes sortes.
Ce sont tous les deux des oeuvres d'art mais ils ne demandent pas le même niveau de compétences.

En plus rien ne garantit qu'un bon novelliste soit aussi un excellent romancier.

*ça fait vraiment décousu mais essayer de caractériser la chose était complexe*
Dernière édition par Clendorie le 23 Oct 2007, 21:33, édité 1 fois.

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Messagepar lambertine » 23 Oct 2007, 21:04

Et pourquoi directement attaquer ? Où ai-je dit qu'un roman pouvait être écrit "avec les pieds" ?
Par contre, oui, pour moi (et je dis bien "pour moi"), le style est plus important pour une nouvelle que pour un roman. Et pas seulement plus important, différent. Un bouquin de mille page écrit avec l'esprit de concision d'une nouvelle serait tout bonnement indigeste à force d'être dense.

Et le travail d'un projet court peut permettre de gagner en compétence pour un projet long à condition qu'il s'agisse du même genre de travail. Ciseler une bague ou forger une épée, ce n'est pas la même chose, même s'il s'agit dans les deux cas de travailler le métal.

Quant aux contraintes éditoriales, mieux vaut pour l'auteur jouer avec elles en présentant un texte d'un genre ou d'un format qui convient à sa personnalité. S'il se fait refouler, tant pis : il apprendra comme ça. Mais s'il ne présente que des textes qui ne lui correspondent pas, il se fera d'office refouler. Tout le monde n'est pas bon en tout.

PS : Je répondais à Chwip. Je plussoie à ce que dit Clendorie.

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Napalm Dave
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Messagepar Napalm Dave » 23 Oct 2007, 21:30

C'est assez méprisant pour le genre "nouvelle" que de considérer celles-ci comme moins "ambitieuses" qu'un roman. Bien sûr qu'une nouvelle sera plus vite écrite qu'une pentalogie. Et alors ? ce n'est pas, selon moi, le même travail.


Youlà, j'ai été mal compris là. Je n'ai jamais dit que la nouvelle était un genre inférieur et d'ailleurs le "ambitieux" est placé entre guillemets. Simplement, le roman est plus exigeant en terme de travail et de cohérence de récit car c'est un travail de plus longue haleine.
Il est bein évident que si je rends un jour mon recueil de nouvelles "Contes d'outre plan" il sera certainement autant travaillé qu'un roman, je ne vais pas rendre un navet à un éditeur non plus.

Mais ne serait-ce qu'en terme de temps passé, d'investissement et de risque d'abandon, la nouvelle est un exercice heureusement moins risqué.

D'ailleurs Lambertine, tu as utilisé le terme "bijou" et c'est celui que j'ai employé pour décrire la nouvelle de Neeva de l'anthologie "Facettes d'imaginaire": c'est un bijou au métal maintes fois retrempé et au joyau retaillé jusqu'à la perfection, ou presque.
Dernière édition par Napalm Dave le 24 Oct 2007, 09:13, édité 1 fois.

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Epistolier
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Messagepar Epistolier » 23 Oct 2007, 22:40

Ayerdhal écrit de splendides nouvelles. Lisez "Scintillements" et vous comprendrez. Mais pourquoi Ayerdhal n'écrit pas plus de nouvelles ? La raison est simple et il le dit lui-même : il met autant de temps à écrire une nouvelle que d'écrire un roman.

La nouvelle est beaucoup plus exigeante pour cet auteur que le roman. Je ne pense pas qu'il soit le seul dans ce cas. Ce n'est pas parce qu'il y a beaucoup de mots qu'on a passé plus de temps que sur un texte avec moins de mots.
Arthur C. Clarke nous a quitté :(

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Messagepar Chwip » 24 Oct 2007, 09:10

lambertine a écrit :Et pourquoi directement attaquer ? Où ai-je dit qu'un roman pouvait être écrit "avec les pieds" ?


Ca n'était pas une attaque, je ne faisais qu'utiliser ta technique de réponse.

Pour apprendre les contraintes malheureusement, bien peu d'auteurs comprennent ce qu'on leur dit et se drape dans leur égo avec un "vous ne comprenez rien à mon génie".

Je ne donnais que des pistes de réflexions. Epistolier en a donné une autre très intéressante.

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Messagepar lambertine » 24 Oct 2007, 10:31

Mais je plussoie ce que dit Epistolier : l'art de la nouvelle est extrêmement exigeant, à cause de l'intensité, de la condensation du texte qui sont indispensables à une bonne nouvelle. Et qui rendent selon moi celle-ci plus difficile à écrire - à bien écrire - qu'un bon roman pour un écrivain "normal". Pour moi, la nouvelle serait plus un aboutissement stylistique qu'un terrain d'entraînement, qu'un tremplin pour l'édition. Et je crois, mais ce n'est que mon avis, que commencer "à tout prix" par la nouvelle, quelles que soient les bonnes raisons pour ça - retour rapide, travail moins long, publication "anthologique" qui peut permettre de profité de la présence de ténors etc... - quand celle-ci ne correspond ni à la façon d'écrire, ni à la tournure d'esprit du débutant (la cohérence, par exemple, n'est pas un problème pour beaucoup) risque de faire plus de mal qu'autre chose à son travail futur, en ne donnant dans ce domaine que des résultats au mieux passables, au pire médiocres.

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le_navire
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Messagepar le_navire » 24 Oct 2007, 17:27

Bah, pour une fois, je suis d'accord avec Lambertine.
Tout arrive... :lol:

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Cibylline
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Messagepar Cibylline » 24 Oct 2007, 18:54

Pour apporter ma pierre à l'édifice de ce fil pas forcément passionnant diablo , je dirais que novelliste et romancier sont deux "métiers" différents.
On peut les exercer tous les deux, mais ce n'est pas une obligation.

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Messagepar utika » 30 Oct 2007, 13:19

Je suis entièrement d'accord avec Lambertine et ceux qui sont d'accord avec elle.

Travailler sur des nouvelles, même pour des romanciers, a cependant un atout : cela apprend la concision, à aller droit au but. Et franchement certains auteurs de multilogies (non je n'ai parlé ni de Rowling ni de Auel :twisted: ) auraient besoin de réapprendre ça.

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Messagepar Roanne » 31 Oct 2007, 20:08

Ecrire des nouvelles c'est franchement difficile mais cela permet un vrai coup de fouet pour s'améliorer... à condition de les faire beta-lire, de les retravailler.
Ce qui prend du temps non seulement à l'auteur mais aussi aux personnes qui l'encadrent.
Pour ma part j'ai arrêté parce que le résultat n'est franchement pas à la hauteur du temps passé dessus.
Je ne regrette pas d'avoir tenté car l'exercice était intéressant et deux textes ont plu aux filles de Mort Sûre, mais franchement, il faut savoir se dire qu'on est pas très doué et raccrocher.

Je continue à écrire des textes courts pour m'améliorer mais ce ne sont pas des nouvelles, plutôt des exercices de style, des essais, des bouts de je-ne-sais-pas-quoi sans queue ni tête.
Ensuite j'essaye de les relire avec un oeil critique et de voir ce qui ne va pas (facile à dire...).

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Beorn
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Messagepar Beorn » 14 Nov 2007, 13:06

Moi, je ne suis pas du tout d'accord avec Lambertine.

Enfin, si, quand elle dit que roman et nouvelle sont deux types de travail différents, et aussi que la nouvelle n'est pas forcément le plus simple, je suis d'accord.

Mais si romans et nouvelles sont des travaux différents, alors au contraire : il faut essayer les deux !

Pour progresser, il faut essayer le plus d'expérience possibles, comme dans tous les arts.
Pour reprendre l'image de la bague et de l'épée, "c'est en forgeant qu'on devient forgeron", non ?
C'est peut-être en ciselant des bagues qu'on arrivera à améliorer sa manière de forger une épée (enfin, je n'y connais rien en métallurgie, hein).

1) la nouvelle apprend des trucs spécifiques à la nouvelle : l'art de la concision, l'art de la chute... Pas si inutiles que ça dans un roman.

2) La nouvelle, comme dit Roanne, est un excellent terrain pour l'exercice de style : quoi qu'on en dise, c'est quand même moins d'investissement qu'un roman. ça permet de se forcer à sortir de ses petites habitudes confortables d'auteur, sans pour autant s'enfermer dans un projet qui va prendre six mois de travail.
Par exemple essayer un genre nouveau (humour, policier, fantasy...) ou des partis pris de narration (présent de l'indicatif, usage de la première personne...).

3) La nouvelle, eh oui, permet souvent un "retour" plus facile : plus facile de trouver des beta, plus facile de se faire éditer ou conseiller, grâce aux fanzines.

Alors bon, si ça ne vient pas, ça ne vient pas, inutile de s'acharner non plus. Mais essayer la nouvelle, je pense que c'est une bonne idée.
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